Table des matières

Cloud Computing

IaaS, PaaS, SaaS

Projets

Simple Cloud API

The Simple Cloud API brings cloud technologies to PHP and the PHPilosophy to the cloud, starting with common interfaces for three cloud application services:

You can start writing scalable, highly available, and resilient cloud applications that are portable across all major cloud vendors today.

http://simplecloudapi.org

OpenStack

The OpenStack Open Source Cloud Mission: to produce the ubiquitous Open Source Cloud Computing platform that will meet the needs of public and private clouds regardless of size, by being simple to implement and massively scalable.

Services:

AppScale

http://appscale.cs.ucsb.edu/

Category: PaaS / Platform-as-a-Service

AppScale is an open-source implementation of the Google App Engine cloud computing interface. It is being developed by researchers in the UC Santa Barbara RACELab. AppScale enables execution of Google App Engine (GAE) applications on virtualized cluster systems. In particular, AppScale enables users to execute GAE applications using their own clusters with greater scalability and reliability than the GAE SDK provides. Moreover, AppScale executes automatically and transparently over cloud infrastructures such as the Amazon Web Services (AWS) Elastic Compute Cloud (EC2) and Eucalyptus, the open-source implementation of the AWS interfaces.

AppScale is supported by: Google, IBM Research (via OCR and X10 Innovation Awards), The Directorate for Computer & Information Science & Engineering (CISE) of the National Science Foundation (NSF).

Eucalyptus

http://open.eucalyptus.com/

Category: PaaS / Platform-as-a-Service

Eucalyptus enables the creation of on-premise private clouds, with no requirements for retooling the organization's existing IT infrastructure or need to introduce specialized hardware. Eucalyptus implements an IaaS (Infrastructure as a Service) private cloud that is accessible via an API compatible with Amazon EC2 and Amazon S3.

The name EUCALYPTUS is an acronym and stands for Elastic Utility Computing Architecture for Linking Your Programs To Useful Systems.

Services

Linode

http://linode.com

IBM LinuxOne

http://www-03.ibm.com/systems/linuxone/

http://www.wired.com/brandlab/2016/01/taking-linux-and-the-open-community-to-new-heights

Heroku

http://heroku.com/

Engine Yard Cloud

http://www.engineyard.com/products/appcloud

Amazon / AWS

Infrastructure as a service (IaaS)

Eucalyptus Cloud

http://www.eucalyptus.com/

Red Hat OpenShift

Platform-as-a-Service (PaaS)

http://www.redhat.com/solutions/cloud/openshift/

Red Hat CloudForms

Infrastructure-as-a-Service (IaaS)

http://www.redhat.com/solutions/cloud/cloudforms/

DotRiver

VDI (Virtual Desktop Infrastructure), DaaS (Desktop as a Service).

Divers

Peut-on faire confiance aux nuages ?

Peut-on faire confiance aux nuages ? Elektor, 30 juin 2011

Les grandes gueules de l'internet ne ménagent pas leurs superlatifs pour vanter et vendre les mérites de la dématérialisation de l'informatique, ou cloud computing, que ce soit pour le traitement en ligne de documents ou pour leur stockage sur des machines toutes plus sécurisées les unes que les autres. Le procédé est intéressant. Force est de constater, cependant, qu’on ne peut pas aujourd’hui lui accorder une confiance totale. Avant de vous lancer dans les nuages à votre tour, prenez connaissance des deux informations suivantes dont vous comprendrez que les principaux acteurs ne se soient pas trop vantés.

La première concerne une société australienne qui, avant cette affaire, avait pignon sur rue et hébergeait de très nombreux sites. Suite à une faillite, elle a été rachetée par sa principale concurrente qui elle a subi l’attaque d’un pirate. Bilan : 4800 sites perdus, parce que, contrairement à ce que prétendait ce prestataire, il ne faisait pas de sauvegarde !

La seconde, certes moins grave mais néanmoins tout aussi inquiétante, concerne le service Dropbox qui, comme vous le savez peut-être, propose dans les nuages (c'est-à-dire sur ses serveurs) une plateforme de partage de vos fichiers, apparemment bien commode. La belle plateforme en question a sérieusement tangué dans la nuit du 19 juin : l’accès aux données de ses 25 millions d’utilisateurs est quasiment devenu public de 5 h à 9 h du matin. Une fois le problème résolu, les responsables de Dropbox ont vaillamment confirmé que « cela n’aurait jamais dû arriver ».

Le risque zéro n’existe pas, ni en informatique ni ailleurs, mais ces deux informations nous rappellent que, aussi sécurisé qu’il prétende être, aucun système de stockage ne mérite qu'on lui confie aveuglément nos données.